L’Ariégeoise est une course cyclosportive créée en 1995, dont la renommée dépasse aujourd’hui les frontières de l’Ariège et de la France, avec ses 5000 cyclistes sur la ligne de départ chaque édition. Elle accueille chaque année de nouveaux adeptes, amoureux de la petite reine.
Ce que les cyclistes apprécient :
- De beaux parcours dans les paysages ariégeois
- La convivialité
- L’accueil
- La technicité, l’exigence des circuits
- Des parcours pour tous les niveaux
Les parcours
Il y en a pour tous les goûts, tous les niveaux, des cols mythiques du Tour de France au parcours de 58 km à faire en vélo électrique, l’Ariègeoise est une course ouverte à tous, c’est une véritable « fête du vélo ».
Les cols Mythiques
– Col de Pailhères
– Col du Chioula
– Le Plateau de Beille
– Col d’Agnes
– Mur de Péguère
Plusieurs parcours sont proposés avec chaque année de nouveaux tracés :
- L’Ariègeoise : Environ plus de 140 km / 3 000m de D+
Ce parcours est toujours dans la découverte des fameux cols du tour de France et d’une arrivée mythique, ce qui en fait néanmoins un parcours très sportif et exigeant.
- La Mountagnole : Environ plus de 110 km / 2 000m de D+
C’est le parcours qui rassemble chaque année le plus de participants. C’est une course de montagne difficile mais accessible à tous les cyclosportifs.
- La Passéjade : Environ plus de 50 km / 1 000 m D+
La Passéjade est une randonnée cycliste sans classement accessible dès 12 ans, l’objectif est de découvrir le département à vélo, passer un bon moment et participer à l’émulation d’une grande course cycliste !
- La Passéjade version éléctrique : Environ plus de 50 km / 1 000 m D+
La version électrique a été créé pour donner l’accès au plus grand nombre et faire de ce jour une véritable « fête du vélo » conviviale et accessible.
- Elles font l’Ariègeoise : Entre 50 et 75 km / entre 1200 et 2 000 m D+
Ce parcours a été créé pour regrouper les cyclistes féminines qui préfèrent pédaler entres elles et éviter les départs trop stressants. L’exigence du parcours est là, mais ici on va à son rythme, on prend du plaisir plus qu’on ne joue le chrono.